Urban Comics
  Howard The Duck #4 : «Le Diable»
 
Auteurs : Nicoalk13 & Dax
Date de parution :
 

Extrait de l’article de Kat Farell en seconde page de Howard The Duck numéro 172 daté du 01/11/2004 :

Le Diable a élu domicile à New York.
Ce n’est pas le titre du prochain best Sellers d’un auteur connu, ni du prochain blockbuster d’Hollywood, mais bel et bien la réalité. Depuis, quelques semaines l’on peut voir par moment un jeune homme survolé nos toits […] Selon certains témoins, il aurait été vu avec un autre super héros de la ville, le non moins célèbre et toujours secret Spiderman. Alors masochiste, fan de BD ou délire collectif urbain ? […]Il a même été élu dans Entertainment Weekly, plus belle curiosité du mois d’octobre.[…]
K. Farell


- Kat ?... Kat ?...
Mon dieu, il existe vraiment, il existe en chair et en os. Mon dieu, ca poitrine est toute jeune, complètement imberbe, il doit avoir moins de 20 ans à tout casser. Il porte ce ridicule masque, il croit vraiment faire… En fait il fait peur… et moi la grande fille de Ma Farel je suis tombé dans les pommes ne le voyant. Allez Kat relève toi tu ne vas pas craquer pour un petit jeunot.
- Kat, ca va?
Evidement que ca va, et lâche moi d’abord je peux me relever toute seule. Lui c’est Ben Urich, une sorte de journaliste manquée, que l’on m’a envoyé suivre pour savoir comment il dilapidait l’argent de Howard. Howard c’est mon patron, une sorte de millionnaire de quarante ans qui voudrait bien savoir ou part son blé. Le blé c’est l’argent que chaque mois il me verse pour accomplir des missions plus débile les unes que les autres, comme trouver qui a taché cette robe ou si Lance Armstrong est dopé ou suivre ce Ben Urich sur un toit. La raison de sa venue sur le toit, c’est cet homme dans l’ombre la bas, Daredevil, un boy scout qui se promène la nuit pour défendre la veuve et l’orphelin… pour assassiner des gens a la demande du caïd certains disent.
- Oui, ca va Ben, tu peux me lâcher.
- Mais… je voulais t’aider à te relever…
Oui, c’est ca, tu voulais me ploter oui. Ben Urich est un pervers tout le monde le sait au bureau, on dit même qu’il aurait déjà fait des avances a la nouvelle secrétaire du chef, Betty Brant. Quelle garce elle aussi, je la supporte pas, elle est son corps parfait. Je lui arracherais des cheveux si je le pouvais. Elle aurait mérité de se faire kidnapper elle, mais la place était déjà prise ! Quoique deux gros culs pour le prix d’un, le preneur d’otage n’aurait pas du se gêner. La femme enlevée que recherche Ben, son meilleur ami, est Jessica « grande gueule »Jones. Je ne peux pas la supporter non plus. Elle a eu une augmentation pour l’affaire du flic. Pas moi.
- Ben, dis-moi, c’est bien lui ?
- … Mais qu’est ce que tu fais la, Kat ? Tu me suivais ?
- Ce n’est pas important… Monsieur Devil… Vous répondriez à quelques questions ?
Et voila c’est a ce moment précis ou votre reporter vedette Kat Farell, a failli décrocher une augmentation. Imaginez, soufflé à la barbe de Ben Urich, une des plus grosses interviews de sa possible grande carrière et se rincer en même temps l’œil.
- Attends Kat… Tu n’as pas le droit de…
Mais c’était trop tard, je m’avançais d’un pas décidé vers celui qui me ferait obtenir ma prime de noël en juin, un prix remis lors d’une soirée en mon honneur, la belle vie quoi. Mais ca n’auras jamais lieu, car aussi vite va la montée, autant la descente est brutale et rapide. Ce n’était pas DareDevil. L’homme qui m’avait fait tomber dans les pommes lors de son apparition, qui m’avait fait miroiter tant de bonnes choses n’était pas Daredevil.
- mais vous êtes qui vous ?
- Kat, laisse-moi-t’expliquer…
- Ferme là. Qui est ce con déguisé la ?
- Madame, je ne…
- Toi, la ferme, Ben, c’est qui ? Et ou est Daredevil ? Où est-il, tu entends toi ou il est ?
Typiquement masculin, réponse collective « mais de quoi tu parles ? »


S T O P !

Il est temps qu’un narrateur prenne les reines de cette série pour rappeler différentes information qui vont clairement vous intéresser j’en suis sur. Ben Urich recherche sa collègue Jessica Jones enlevé depuis plusieurs semaines. Cette dernière ayant provoqué la condamnation de l’agent Graves, qui une fois évadé n’a pas tardé à la retrouver et à la kidnapper. Mais ca en fait si tout les lecteurs le savent, ben lui ne peut que le suspecter. Et c’est pour cela qu’il suit toutes les pistes pouvant l’amener a la retrouver comme demander a son pote David Haller Jr, fidèle réplique de Bugs Bunny de se renseigner. Il lui a donné un rendez vous avec un super héros ce soir. Et c’est à ce moment là que ce passe la scène présente. Mais il me semble oublier quelque chose… Ah, oui, Kat Farell, vous ne la connaissez sans doute pas. Alors laissez-moi-vous la présenter.

Et pour cela revenons à ce matin… 8h00 frappante, et la première sonnerie de son réveil. Comme tous les matins, il sonne, puis la musique prés sélectionner se déclenche, aujourd’hui c’était Britney Spears, ca aurait pu être pire. Donc après quelque onomatopée fort orgasmique que nous gratifie la dite chanteuse comme a chaque début d’une de ces chanteuses, Kate ouvre enfin les yeux d’une facilité déconcertante et le sourire aux lèvres.
Cette femme de 24 ans habite au second étage de la demeure familiale, enfin habite dans tout le second étage qui compte tout de même deux salles de bain, trois chambres, et d’autres salles toutes plus annexes les unes que les autres. Alors on peut comprendre qu’elle se réveille le sourire aux lèvres.
Défilant dans une somptueuse nuisette de luxe, elle rejoint son patio pour y déguster un délicieux petit déjeuné. Enfin vous savez le type de plateau déjeuné avec beaucoup trop de chose déçu même s’il on sait que presque rien ne sera consommé. Elle s’assoie dans un profond fauteuil et y découvre la presse people du matin.

A ce moment de l’histoire, tout bon lecteur assidu pourrait se demander pourquoi elle bosse quand même au Howard the Duck, si son compte en banque est apparemment déjà rempli, et bien pour toi fidèle lecteur, le père de Kate Farrell te donnera la raison : « Au que si tu travailleras ma fille, de père en fils dans cette famille nous travaillons, et c’est la raison de pourquoi nous en sommes arrivé là, alors si tu ne trouve pas un digne héritier, tu bosseras pour pouvoir mériter tes étrennes. »

La discussion fut close en deux minutes. Et comme premièrement la dite demoiselle désira se rapprocher d’une conquête, et de deux que son père en était un très bon ami, elle se mit en chasse de le conquérir. Manque de chance, concours de circonstances et réalités alternatives ont propulsé le dit monsieur à lui sortir une phrase du style qu’elle n’avait pas beaucoup de tête et qu’elle ne serait jamais capable même d’écrire un article d’un de ces stupides magazines qu’elle adorait.
Aussitôt dit, aussi fait, elle se retrouva propulser au sein du Howard the Duck. Evidement elle ne répondit plus aux excuses de l’autre garnement, elle le remercia même de lui avoir ouvert les yeux sur son talent.
Son talent était un bien grand mot cependant vu que « papa » dut convaincre le président du journal de l’engager, et que son rédacteur en chef lui confiait souvent des sujets annexes, voir des jobs débiles comme suivre Ben Urich sur un toit la nuit. Comme reconnaissance il y a forcément mieux !

Donc après s’être réveillé ce matin, et comme chaque matin, elle épluchait les ragots de la presse à scandale lorsqu’elle tomba sur celui qu’elle cherchait : un encart d’Entertainement Weekly. Je ne vous ai pas dit au fait mais Kate est l’ironie version femme. Car en plus d’avoir un égo surdimensionné pour croire qu’elle sait écrire, elle jubile quand elle se lit. Et encore plus quand elle lit un de ces articles pour lequel elle a du mettre l’argent de papa pour pouvoir le publier. Et pour en revenir au début a votre avis sur qui est cet article ?

Je vous le donne en mille : DAREDEVIL. Depuis le jour ou elle a croisé ce jeune homme torse nu, il remplit ses rêves, ses fantasmes et je vous passe les autres détails plus incongru les uns que les autres comme son rouge a lèvres « Red Demon »… Je vous passe la couleur de ses sous vêtements masculins qu’elle porte, oui oui, masculins vous savez ces caleçons avec ses petits diablotins. En cinq mots : « Elle l’a dans la peau. »

Elle passe des soirées entières a parcourir Hell’s kitchen en espérant le voir sur un toit s’élançant a l’assaut du crime de la veuve et l’orphelin. Elle y croit. Elle n’est jamais arrivé à se faire agresser pour qu’il vienne la sauvée, mais elle a essayé en courant avec des vêtements déchirés en pleine rue…

Bon Je pense maintenant que vous pouvez avoir une idée de son état ce soir, a deux pas d’un individu qu’elle a prit pour son idole…

Moi je vous quitte, fidèles lecteurs, et je vous dis à une prochaine fois. Excelsior !


- Mais de quoi tu parles Kate ? Qu’est ce que tu fais la ? Que… Oh non, ne me dis pas que l’on t’a demandé de me suiv…
- Ne rêve pas, je le suivais lui…
L’homme qui sortait de l’ombre put alors faire son entrée magistrale de super héros, vous savez celle ou l’auditoire ouvre grands les yeux tout surpris en ce demandant quelle idée a pris un homme pour porter du lycra a même la peau.
En sautant du rebord ou il était, il se pris les pieds dans un câble qui traînait par terre, et s’étala de tout son long. Il se releva et nettoya rapidement son pantalon.
- Excusez moi, je n’ai pas l’habitude de faire les actions aussi physique que c’elle que je viens d’entreprendre.
Les deux journalistes était bouche bée. Jamais ils n’auraient pensé se retrouver face à un individu aussi ridicule que ça. L’homme en question était plutôt grand et maigre, le torse nu recouvert de peinture vert foncée, un pantalon vert lui aussi, et un masque de sphinx sur le visage.
- Je suis le Sphinx, battu par Œdipe, je me suis exilé de nombreuses, trop nombreuses années, mais me revoilà, plus mystérieux que jamais. Je suis la pour vous mettre sur le bon chemin, celui qui vous est destiné. Celui que vous ne connaissez pas encore. Kate, n’oubliez pas pourquoi vous avez voulu faire ce métier, vous êtes une chic fille au fond de vous, ne laisser pas les nuages de la présidence brouiller votre vision du monde. Ben, la personnes que vous cherchez est plus proche que vous ne le pensez, la personne qui pourra vous aider à la retrouver se trouve juste au-dessus de vous, toujours à vous regarder de son grand œil à travers les nuages, ne voulant pas révéler la vérité, celle si est pourtant aussi claire que la glace. Regardez de l’autre côté du miroir, vous trouverez des indices, et dans votre quête de la dixième, n’oubliez pas le soldat, ni la bête qui sommeille quelque part en vous, si vous les trouvez dans cette ville, peut-être vous apporteront-ils leur aide. Telles sont les énigmes qui vous on été énoncés pas le Sphinx, mais rassurez vous, si vous n’arrivez pas à y répondre par vous-même, je ne vous tuerai pas de mes propres mains, bien au contraire, le grand œil s’en chargera, d’ailleurs il risque même de s’en charger si vous trouvez les réponses. Le temps presse, ne perdez pas plus de temps à me regarder, partez, vite, tant que vous étés en vie, tout est possible. N’oubliez pas Ben, trouvez le soldat où bête, ils vous aideront. Moi je doit y aller, je n’avais pas le droit de vous rencontrer, celui qui contrôle tout n’était pas d’accord, fuyez pour votre vie comme je vais le faire.
Dans un grand geste, l’homme peints de vert, sortit une petite boule de sa poche, et la lança par terre, une fumée en sortit, faisant perdre conscience à Ben et à Kate. Le Sphinx en profita pour s’enfuir.
 
 
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