Urban Comics
  Mimic #1
 
Histoire : Bakusan
Date de parution :


Alfonso était considéré par ses voisins comme un simple d'esprit, et c'était le cas. Il avait pour habitude d'écrire dans son journal ce qu'il ressentait et vivait depuis 65 ans.

L'officier Nigel le connaissait depuis qu'il était petit, mais cette semaine lui semblait bien noire. Une attaque entre deux groupes terroristes, utilisant des armes pouvant créer des séismes ou utiliser des champs magnétique, avaient détruits tout le quartier voisin.

"Décidément, quelle année de merde!"pensa t'il tout en regardant avec dégoût la scène du meurtre. C'était à vomir son petit déjeuner. Des fois, il voudrait changer de boulot. Mais au fond de lui, il avait peur de s'embéter dans un bureau.

- Quel genre d'arme peut faire ça!
- Hein… euh…pardon!
- Je disais quelle arme peut faire autant de dégâts.
- Aucune idée… un Bazooka?

Nigel observa la scène du crime. La chambre d'Alfonso était entièrement repeinte par des bouts de cervelles des trois victimes, qui compté Alfonso lui-même et deux infirmiers que le fou avait fait appeler. L'agent se déplaça dans la piéce tandis qu'il regardait le trou dans le plafond au dessus du lit lorsqu'il sentit un truc mou sous sa chaussure il baissa la tête et vit horrifié qu'il venait de marcher sur un œil. Il recula et glissa sur un bout de bras gelé. Il tomba et s'assoma à moitié sur une commode pleine de sang.

- Espèce de crétin, sort de là, tu viens de gâcher des indices!
- Excu…
- Dégage! Je veux plus te revoir!

Nigel sortit rapidement en pestant contre "ces experts". Cette soi-disante police scientifique qui se croyait supérieur aux vrais flics qui risquaient leur vie sur le terrain tandis que ses intellos jouaient avec leurs éprouvettes.

Nigel avait toujours eu un "don", celui-de trouver n'importe quel objet et découvrir n'importe quel secrets, surtout ceux que l'on voulait absolument dissimuler et d'être affreusement maladroit. Sa femme lui disait parfois que c'était comme un pouvoir et le traité de mutants, surtout depuis qu'il avait permis à un village de gagner au loto…10 000 000 dollars à se partager entre 500 000 personnes, mais il lui répétait sans cesse qu'ils n'étaient pas dans une des BD de leurs fils.

Mais ce "don" fit encore des siennes et il parvint à trouver une cache dans le parquet de l'appartement, il y trouva un peu de drogue et le journal du vieux fou. Il décida de se mettre à l'écart pour le lire…

Au début, le bouquin était remplis de connerie et de délire d'Alfonso. il passa donc en vitesse rien n'était vraiment intéressant. Soudain quelque chose le décida à lire les dix dernières pages. Ce qu'il fit…


" Un monstre! J'ai découvert un monstre ailé avec des grosses mains sous des débris du quartier! je l'ai capturé!…."

"C'est bizarre, depuis que le monstre et là j'entends des voix dans ma tête et quoi que je fasse, il fait froid!…"

"Ca fait 24 heure que ce monstre et là. Il ne s'est pas encore réveillé, j'ai appelé la police et les médias mais personne ne me croit, il me dise fou… mais c'est pas vrai, je prend mes médicament tout les jours! Je devrais peut-être doubler la dose, mais…"

Nigel passa ce paragraphe, il n'y avait plus rien d'intéressant, à part un gros délire du vieux sur sa consommation de médocs et de crac…

"Ca y est, j'ai trouver comment m'en débarrasser, j'ai appeler le centre en disant que j'était pas bien et qu'il devait venir me chercher. Il passeront demain. Il s'est repasser un trucs hier, pendant que je coiffais cette chose, j'ai commencé à voir la vie du monstre par ses yeux. "

Nigel se mit à la lire, il n'en croyait pas ses yeux, ce mec était vraiment fous. Mais rien n'était écrit pour aujourd'hui puisque les deux infirmiers psychiatrique et Alfonso étaient mort…

A l'autre bout de la ville, Annita Schaffer repensait à ce qu'elle avait vécu avec Calvin Rankin deux semaines plutôt. Ils se baladaient tranquillement à New-York où ils étaient en vacances depuis une semaine. En y repensant, ils formait un couple depuis trois mois… un couple d'ados du Michigan comme on voit dans les séries télé. Elle était la petite brune de 16 ans d'1m65, chef des pompom-girl de leur école alors qu'il en était le Quaterback blond d'1m90 de 17 ans.

" Une vrai caricature de série B, mais qu'est-ce que j'etais bien avec lui, je pouvais être moi-même!"
Du moins en apparence, car son père la battait, mais sans jamais la violer et lui obsédé par son sport, il testait tout ce qui pouvait lui permettre de battre des records depuis qu'il avait vu son frère pendu les avant-bras ouverts dans sa salle de bain… La belle vie quoi!

Ils s'était rencontré grace au lycée… enfin lui était du lycée en face du sien, et lors d'un match entre leurs différents lycée que l'équipe de Calvin avait gagné, elle l'avait trouvé canon dans son beau maillot mauve et de jours plus tard, il avait réussis à obtenir un rendez-vous avec elle. Sa à été le scandale dans les deux lycée quand les gens on su qu'il était ensemble… le Quaterback et la chef du club de Pom-Pom girl de deux équipes différentes ensemble. Dans le Michigan, c'était pire que de critiquer l'église.

Deux mois après, ça c'était tassé et les gens critiquaient plus discrétement et surtout quand il n'étaient pas là. Mais ils s'en fichaient tout les deux, c'était leur bohneur qui compter le plus. Ils étaient tout le temps ensemble. Etant son premier amour et elle l'aimait plus que tout.

Enfin bref, ils se baladaient tranquillement dans la banlieue New-Yorkaise oubliant leur vie et passant un bon moment à s'enlacer, pas loin d'une école pour surdoués. Quand soudain, des bruits de tolles froissées couvrirent les bruits de voiture.

- Là! Regarde!

Il s'agissait d'un homme grand, dont le visage était caché par le soleil, volant au-dessus de la rue des voitures et des objets métalliques volant autour de lui.

Ils restèrent à fixait ce type en se demandant quels effets spéciaux lui permettaient de faire ça. Les voitures jonchaient la rue comme des jouets brisés d’un enfant capricieux. Une conduite d’eau avait éclaté, remplissant la chaussé d’une boue immonde et trempant au passage tout les passants qui couraient paniqués dans toutes la rue.

- Anie ! je me sent bizarre, faut qu'on paaaaaaaaaarte! Merde c'est quoi ça!

Un immense tremblement de terre secoua le quartier, un jeune garçon, qui ne devait pas avoir plus de 25 ans, de l'autre côtés de la rue semblait s'en amusé. Cinq jeunes dont un aveugle et un gros balèze le rejoignirent à toute vitesse , apparemment prés à lui mettre la raclée qu'il méritait. Un autre gars précédé d'une fille et de deux autres garçons arrivé à l'aide du premier. Anita vit que deux d'entre eux semblait voler. Il semblèrent échanger quelques mots puis ils commencèrent à s'attaquer.

Le couple préféra s'éloignait et emprunta la première ruelle.Alors qu'il était presque en sécurité, Calvin ralentit l'allure.

- Je me sens pas bien, j'ai …

Il se mit à gémir en se tenant à elle et fini par tombé à genoux.

- J'ai mal! Partout ça me… Aides-moi à me relever! Bébé!

Elle le prit par les épaules et tenta de le mettre à l'abris, mais une secousse de son copain la repoussa en arrière et elle revint à la charge pour l'aider

- Viens Cal ! c'est dangereux ici !
- Annita! Je…" Au mon dieu…"

Il n'avait pas ouvert la bouche mais elle l'avait bien entendu parler.

Elle le regarda mieux, il transpirait à grosse goutte et semblaitsouffrir

- Qu'est-ce qui ce passe! Où est-ce que t'a mal!
- C'est…C'est ma jambe droite! J'ai…

Anita regarda là où il avait mal et vit horrifié qu'une tige en fer lui était rentrée dans la jambe droite. A la vue du sang, Anita recula de quelques pas, mais parvint à se resaisir et pendant qu'elle le mettait à l'abris et tenta de retiré la barre.

- Ahhhh! Laisse la, faut que tu m'emmenes à l'hosto!
- Non, ça pourrais s'infecter!

Elle se remis à tirer et soudain des picotements commencèrent à parcourir tout son corps.

Soudain à affreux craquement la fit sursauter et lacher la barre et elle regarda ses pieds qui dépasser de ses chaussures et ses mains qui avaient doubler de taille tout comme sa masse musculaire. Une crise de panique la prit, elle ressentait toutes les pensées des gens qui étaient autour d'elle et des objets se mettaient à léviter. Lorsque tout à coup, son dos la fit souffrir ainsi que ses yeux. Quelque choses poussait dans son dos dont les vertèbres craquées l'une après l'autre dans un bruit affreux. Sa peau se tirait et se détendait. Elle tourna sur elle même et senti quelque chose la heurtai dans un bruits sec suivi d'un gémissement de douleur en se retournant à nouveau et vit son mec, à terre, se tenant la tête entre les mains, deux mètre en dessous d'elle tandis que des ailes lui avaient poussées dans le dos et la faisait voler.

- Qu'est-ce qui m'arrive Calvin!

Calvin ne répondit pas. Une terreur sans nom l'avait envahit. Mais tandis qu'elle parlait, sa vision prit une couleur rouge orangé et des espèce de rafales sortir de ses yeux. Anita paniqua encore plus et la rafale commença à détruire la ruelle.

Une voiture, garée à l'autre bout de la ruelle, se mit à explosait tandis qu'elle la fixait du regard. Elle ferma les yeux et senti à nouveau le sol sous ses pied. Sentant la présence de Calvin à côtés d'elle, elle se retourna en baissant la tête.

Voulant voir, elle entrouvrit l’œil droit et la rafale parti directement dans les genoux du pauvre Calvin qui se mit à hurler de douleur. Elle referma les yeux en se servant de la télépathie pour voir.

- Excuse-moi, Calvin! Je contrôle rien du tout et je sais pas ce qui m'arrive!
- Mes jambes! Je suis foutu, je pourrais plus jamais faire de foot!

Son foot, ce sport l'obsédé vraiment. Mais Anita parvint à contrôler sa colère et se mit à l'embrasser, mais son mec la repoussa.

- Dégage! Monstre! Tu n'est pas ma Anie!
- Non! c'est moi Cal! Je te le jures!

Au moment où dans la rue d'à cotés Bobby se fit attaquer par Pyro, son copain semblait refroidir! Son corps paraissait se recouvrir de glace

- Qu'est-ce que tu me… j'ai froid

Il claquait des dents, Anita tenta de le réchauffer en le serrant dans ses bras, mais il ne bougea rapidement plus, et elle sentait de moins en moins sa présence psychique. Puis plus rien.

Soudain, elle sentit un picotement dans sa tête et compris qu'on lisait dans ses pensées. Elle essaya de faire la même chose mais une sorte de barriére l'en empêcha. Puis une voix dans sa tête se fit entendre

- Je m'appelle Charles Xavier, Anita! Je crois que tu as copié les pouvoirs de mes X-men. Lit dans mon esprit et tu sauras ce qu’ il t’arrive.

Ce que fit Anita. Elle découvrit qu’elle était une mutante et que les pouvoirs se manifesté à l’adolescence. Mais comme apparemment le sien copier ceux des autres, et qu’elles n’avait encore croisé aucuns autres mutants auparavant, son pouvoir était resté latent.

- Rejoins mon équipe, les X-men. je t’apprendrais à utilisé ton pouvoir et ceux que tu as copié !
- Et Ca…
- Il est … comment… Tu l’as congelé avec le pouvoir de Bobby ! je suis….Erick Non !

Ses jambes la lachèrent, elle voulait pleurer mais n'y parvint pas. Son cœur semblait être vide de toutes émotions. Celles-ci c'étaient envolé en même temps que son Calvin. Elle resta au milieu de la ruelle, à essayer de faire le point et de ressentir autrechose que de la culpabilté. Anita se mit à réfléchir en vitesse et une seule idée lui vint à l'esprit.

"C’est à cause de ses X-men que je l'ai tué . Calvin, je leur ferais payer ta mort."

Elle carressa une derniére fois son visage et elle s’envola en direction du champ de bataille.

A peine arrivé au coin de la ruelle, elle vit un mec en costume qui lévité au dessus des deux groupe.

- Mutant stop !

Ce mec semblait impressionnant, il dégageait une tel force naturelle, elle ressentait une espèce d’admiration pour lui. Le mec ailé essaya de lui tenir tête mais en regardant à travers ses yeux, elle vit qu’un reverber avait tenté de le tué. Ce ne fut qu’au dernier moment, qu’elle comprit que le projectile lui foncer droit dessus. Elle se le prit dans le dos et au moment du chocs, elle ne put s’empêché d’ouvrir les yeux et ses rafales détruire la façade d’une maison. Quelques débris lui tombérent sur la tête et elle sombra dans l’inconscience à quelques mètres de la confrontation entre les X-men et la Confrérie…

Lorsqu’elle se réveilla quelques jours plus tard, elle sentit la présence de trois personnes autour d’elle, et était allonger dans un lit.

- Regardez! je suis pas fou cette fois, mais personne ne veux me croire !
- Merde ! si j’avais su, c’est un ange tu crois !
- T’as déjà vu un ange avec des bras aussi gros que mes cuisses ! C'est une montagne de muscle cette fille:
- J’aurais du prendre mon appareil photo !
- Ca fait un bon bout de temps qu’elle est inconsciente, mais elle doit pas être morte.
- Ok je vais voir… Putain elle est gelée ! …Hé je sens un pouls !

Des doigts lui ouvrirent un oeil. Elle eut à peine le temps de voir la tête du type, penché sur elle, éclatait sous la pression du chocs de ses rafales . Les deux autres mecs se mirent à paniqué, peut-être moins qu’elle.

Cependant, ils se mirent à l’attaquer, elle en piégea un dans la glace et pour l’autre elle utilisa sa TK et sa force physique pour le réduire en charpie. le dernier essaya de se libérer de la glace mais elle lui sauta dessus en faisant un salto arrière d’une souplesse rare.

- Pitié! Ne me tues pas.
- Qu'est-que tu voulais dire par "montagne de muscle".

Elle se vit à travers ses. La colère l'envahit, elle connaissait toutes ses pensées les plus profondes et ça la mit en rogne. Elle embrassa le pauvre infirmier et ouvrit son oeil…

Elle attrapa en vitesse la couette, s'éssuya le visage en fit une espèce de robe. Après avoir chercher, elle ouvrit la fenêtre et elle sauta du huitième étage.

Au moment où elle allait s'écraser, elle déploya ses ailes et monta haut dans le ciel, une trainée de glace et de nombreux objets à sa suite. Une colére immense la rongeait, elle se mit à hurler autant qu'elle put et ouvrit les yeux, un long rayon optique déchira alors le ciel.

A présent, il fait nuit, mais peu importe puisque qu’elle ne voit qu’à travers sa télépathie. Elle doit trouver le moyen de contrôler les pouvoirs qu’elle a absorber et de se venger de ses X-machins ! Elle leur ferait goûter à leur propre pouvoirs. Perchée sur l'Empire State Bulding, Elle aperçois une ombre rouge se balancer d'immeuble en immeuble. Elle hausse les épaules et s'étire les bras en déployant les ailes pour s'appréter à dormir et ne réver que de vengeance.
 
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