Urban Comics
  Episode 3 : Wanted
 

Histoire : Diablo & Nicoalk13
Date de parution : 

L’immeuble était en piteux état, comme tout ceux qui aurait du être détruit dans le cette partie Bronx. Cela faisant bien longtemps que plus personne ne souhaitait investir dans la rénovation de ces clapiers à lapin. A quoi bon élever de la volaille dans du 4 étoiles, alors qu’elle se complet dans son purin. La petite racaille qui y régnait se servait de cet abandon pour développer leur trafic de coke coupé à plus de 70%, remplir le trottoir de pute, et vivre ailleurs. Celui qu’il venait chercher dans cet enfer avait oublié de lui donner l’étage, sans doute pour pas qu’il le retrouve facilement. Seulement il connaissait sa voix, il n’y avait plus qu’à trouver l’appartement ou il était entrain de s’envoyer en l’air. Par chance sa voix dépassait celle des autres, pas qu’il soit plus fort que les autres, pas que les murs de son appart soient plus fins, il avait juste un ego surdimensionné. Un gros vantard souffrant peut être d’un complexe d’infériorité ce Hank Pym. Il se présentai donc à sa porte, où pendait un écriteau « ne pas dérangé », et frappa trois coups vigoureusement, la réponse se fit rapide.
- Y’a personne putain, Vous savez pas lire sur la porte ou quoi? J’suis encombré…
- Oui, il a payé pour toute la nuit….. Revenez demain!
Les deux personnes à l’intérieur avaient éclaté de rire comme s’il était fier d’avoir fait dégager un gêneur, ce qui pouvait se définir comme une certaine forme d’exhibitionniste. Ils s’amusaient et auraient bien voulu voir la tête du visiteur sans doute gêné. Malheureusement pour leur porte et leurs ébats, il n’en était rien. Les gonds de la porte volèrent en éclats, sous la force du coup de pied de Fury. Les deux partenaires positionné dans une position plutôt incongru et découvrant l’intrus, se ruèrent sous les couvertures afin de cacher leur nudité.

Le patron avait voulu se séparer, préférant ainsi gagner du temps et sauvé sa plaque. C’est pourquoi Steve et elle se trouvait devant une de ses petites maisons de banlieues, en plein Queens. Dire qu’à l’intérieur le grand Iron Man les attendez. L’un des plus grands cerveaux de son temps, responsable de la grande panne de la côte Ouest en 2000, possédant paraît-il des robots commandés à distance, et il bossé dans un magasin de réparations informatiques ! Rogers était resté appuyé sur le capot de la voiture et avait revêtu une veste à Fury, ça faisait plus crédible que la couverture. Sharon s’avança vers la porte et pressa la sonnette.
« Oui ?
- Agent Carter, veuillez ouvrir s’il vous plait
- Oui, une seconde…
Des bruits de pas, du rangement… il en mets un temps… Alors qu’elle attendait en regardant sa montre elle vit soudain que Steve c’était relevé et commençait à courir vers l’arrière de la maison.
« Vite, il s’enfuit !
- Merde !
Elle sortit son arme de service et s’élança dans la direction indiquait par l’ancien SDF. Celui-ci courait déjà vers le gringalet qui venait d’escalader le grillage qui clôturait sa maison. Steve fit un bond et se retrouva quasiment en haut de la grille de 2m, Carter commençait à trouver sa louche cette forme olympique, il prépare les jeux des sans abri ou quoi ?


A la vue du fameux intrus, Hank Pym entra dans une colère rouge, et se prépara à sauter à la gorge de Fury. Mais ce dernier avait prévu au cas ou et le menaça de son flingue. Quant à sa partenaire, elle suppliait à tout va de peur que ce noir qui avait fait irruption la refroidisse, elle aussi.
«Putain mais Fury, qu’est-tu fais là ? T’es malade ? Tout le monde va te voir. Putain mais avec le bruit que t’a fait, la bande va rappliquer. Putain.
- T’inquiète, je te fais sortir d’ici. Et fait taire cette folle, où je le fais moi-même.
Mais Hank n’eu même pas à s’exécuter, aussi docile qu’un agneau la fille arrêta d’elle-même, avant de se mettre à gémir doucement tout en séchant ces larmes.
- Habille-toi en vitesse. On décampe.
- Et elle ? Demanda t’il en mettant son caleçon.
- Elle ? Qu’est ce que tu veux faire d’une pute ? Tu pourras en trouvé d’autre.
La ce fut la phrase qui fit déborder le vase, Fury eu le droit a un crochet. Il trébucha et tomba à la renverse, et perdit son arme qui atterrit quelques étages plus bas.
- C’est ma copine, sale flic, si tu me veux, on l’emmène avec nous.
Fury encore surpris et pas si sur de ce qu’il venait de se passer, mit quelques secondes à se relever. Pym avait profité de ce moment pour enfiler son pantalon et une chemise, et demander à la fille de faire de même. Mais les bruits qu’il entendait n’auguraient rien de bon. L’arme de Fury en tombant avait du ameuter du monde, pressé de prévenir les gars dehors qui rappliqueraient sous peu.

Il se rapprochait, il fallait qu’il accélère ! Tony courait le plus vite qu’il pouvait, il avisa un tuyau par terre, il s’en saisit et en se retournant vérifia bien que son poursuivant n’avait pas d’arme. Il se campa sur ses jambes, prêt à attaquer. Rogers comprit les intentions du fuyard, ne voyant aucune arme à portée de main, il s’empara d’un couvercle de poubelle, et s’en saisit comme bouclier. Il fallait qu’il le garde jusqu’à ce que l’équipière de Fury arrive.
Bang ! L’informaticien frappe de toutes ses forces sur la frêle défense de son adversaire. Mais celui-ci encaisse le coup et se met hors de portée. Ils se toisent en silence, attendant le déclic, la faille. C’est l’agent Carter qui viendra tout brouiller. Elle tira un coup en l’air, ce qui déconcentra son nouveau coéquipier, qui se tourna vers elle, laissant à « Iron Man » le temps de jeté son tuyau sur carter et de repartir de plus belle. Mais Steve se ressaisit vite et ne trouve rien de mieux à faire que de lancer son couvercle rouillé comme un frisbee. La propriété de la municipalité tournoi sur elle-même, traçant une grande parabole dans les airs. Elle percuta l’arrière du crane inestimable de sa cible, en espérant qu’elle n’avait rien altéré de son potentiel mental, Fury comptait s’en servir. Dès qu’il sortirait de son inconscience.
« Mon dieu Roger ! On apprend ça à l’armée du salut ?
- Pas vraiment, je suis aussi surpris que vous.
C’est vrai quelque chose ne tournait pas rond, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait…

De l’autre coté de new York, la situation empirait. La retraite des deux amants était coupé par quatre loubards montant a toute vitesse arme au point, et Fury commençait a se relever. Pym se sentit coincé il prit son amie sous le bras, aida Fury a se relever péniblement et foncèrent vers la chambre. La porte éclatée ne fournirait pas de défense, il faudra ruser.
Les quatre types étaient arrivé quelques secondes plus tard sur le pallié, et se dirigèrent vers la seule chambre dont la porte était ouverte. Un premier homme, collé contre le mur, passa sa tête à l’intérieur de la pièce pour apercevoir les gêneurs. La pièce était cependant vide de son point de vue, la couette rabattu sur le lit, la fenêtre ouverte, et l’armoire vide, prouvait selon lui de leur fuite par l’extérieur. Il hurla alors l’ordre a deux de ces compères de filer les coincer dans la rue. Lui et un autre allait descendre par le même chemin. Mais aussitôt qu’ils avancèrent dans la pièce, Fury planqué contre le mur a la droite du premier homme les pris par surprise. Il attrapa par derrière le premier homme en le faisant pivoter sur lui-même, pour s’en faire l’utiliser comme bouclier. Evidement le second eu la gâchette facile et déchargea le chargeur de sa mitraillette légère. La présence d’une telle arme surpris beaucoup plus Fury, que le fait qu’il est sacrifié son ami. Maintenant qu’il était abattu, Fury put récupérer l’arme du premier et abattre d’une seule balle dans la tête le second. Un entraînement facile pour lui, même a balle réelle. Les deux autres types ayant entendu les coups de feu, remontait à toute jambes, le tir aux pigeons n’était pas fini.
- Vous pouvez sortir bandes de cons, faut se casser avant que tout le quartier rapplique.

Le ton de Fury ne laissait aucune hésitation, Pym et la fille sortirent de leur cachette, respectivement derrière une porte de l’armoire et sous la couette, et suivirent l’agent du FBI qui commençait à faire pleuvoir des tirs dans le couloir.

 
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