Urban Comics
  Daredevil #27 : Origine et denouement (3)
 
Auteur : Bakusan
Date de parution : Juillet 2007


Résumé : Elektra, meilleure amie de Matt Murdock alias Daredevil, est désormais habitée par Oni, le démon japonais qui avait donné ses capacités à son ami. Après avoir subie beaucoup d'épreuves, la jeune femme doit désormais affronter un ennemi redoutable, maudit par un ancien dieu qui le force à faire des horreurs sur les femmes. Malheureusement pour lui, il s'en est prit à une des amies d'Elektra, et celle-ci est sur le sentier de la guerre, comme des alliées de Black Panther, le seigneur de Harlem...


Marius Natchios n’en revenait pas. Trop d’événement bizarre c’étaient déroulé ces derniers temps. Sa fille qui avait perdu goût à la vie après s’être fait tiré dessus, une de ses amie qui venait de décédé… et maintenant ça.
Il avait entendu sa fille sortir en douce chaque nuit. Il l’avait entendu plusieurs fois parlé à haute voix d’un certain dénommé Oni… il lui arrivé même parfois dans parler durant la journée.

Mais là, ce qu’elle avait fait était grave. Il ne savait plu quoi pensé. Qu’avait-il fait pour que ça se passe comme ça. Il se demanda un moment se qu’en aurait pensé sa femme si elle était toujours là. Il saisit son téléphone, posa le journal et composa un numéro. Une personne encore endormie lui répondit.

- Allo ! Vous avez vus l’heure ?
- Docteur Stone ? c’est monsieur Natchios ! j’ai besoin de votre aide, c’est à propos d’Elektra !


Deux nuits plus tôt.

« Je n’ai pas peur de mourir… car je le suis déjà en quelques sortes. Non je n’ai pas peur. La peur est un sentiment très dur à dompter. Elle vous prend aux tripes et ne vous lâches plus. Moi j’en ai fait mon amie et je me sers d’elle autant que je la sers ! Non la mort ne me fait pas peur ! On pourrait croire que mourir au combat est la pire chose qu’il puisse arrivé. Mais non !

La mort nous libère, elle nous permet d’évoluer. Même si l’on en souffre ! La mort ne laisse qu’un sentiment d’inachevé. Mais moi je n’ai pas peur de mourir sur le champ de bataille. Je me fiche de partir avec les honneurs, de voir mon sang répandu sur l’herbe. Non je n’ai pas peur. Car j’ai déjà été morte une fois.

Mais il ne me reste qu’une seule peur. Oh oui, il m’arrives d’avoir peur. J’ai peur d’être blessée, blessée au point de plus pouvoir me défendre. Blessée au point d’être un fardeau pour ceux que j’aime… »

Trois ombres se faufilèrent l’une après l’autre dans la morgue de New York. Chacune était préte à régler le compte du monstre qui travaillé en ces lieux. Leur armes avait était aiguisée et nettoyer. Elles étaient prêtes et n’attendaient qu’à servir.

Walter regarder un dossier. Celui d’une jeune fille qui s’était fait tirer dessus il y a quelques temps… une certaine Elektra Natchios. Quand il reçut un message, qu’il ne prit pas au sérieux. Puis il vit un personnage armé d’une hache qui détruisit un à un ses fichiers. En quelque sorte, ça l’arranger. La police ne pourrait pas faire le lien avec lui. Il regarda sa montre… il était temps. Il de dirigea vers un des frigot où l’on entrepose les cadavre et en sorti un sac.

Les deux jeunes femmes noires s’avancèrent en silence dans les couloirs, Milare n’osait avouer à Dora qu’elle avait peur. Elles étaient Dora et Milare, les servantes de la Panthère Noire. Elles étaient chargées de résoudre les problémes de leur maître. Sa vie passait avant les leurs. Elles ne connaissaient pas la peur et avaient passé leur vie à se battre…

« Peut- être qu’un jour, le maître épousera l’une d’entre elle. »

En pensant ça, Milare resserra sont étreinte contre sa lance et vérifia qu’elle portait toujours son magnum à sa ceinture. Puis elle passa sa main sur son crâne raser pour enlevé les goutte de sueur qui coulé le long de son front

Elles arrivèrent dans la morgue et furent surprise par le froid et l’obscurité qui y régner. Elles jetèrent un coup d’œil et virent une créature recouverte de fourrure qui leur retournait le dos.

- Je vous attendais Mesdemoiselles ! commençons, je vais vous donner un cour d’anatomie !


Elektra se faufilait, elle aussi , en silence dans les couloirs de la morgue, qui était étrangement vide. Elle se doutait que c’était un piége. Mais elle devait venger Rosie. A vrai dire, elle avait aussi très hâte de se servir de ses nouvelles armes.

Infinie et Sirène, c’était leurs noms. Elles étaient si semblables et si différentes à la fois. Elle n’était pas encore remise de l’instant où elle les avait prise en mains. A chaque geste, elles émettaient une sorte de son aigu qui rendait la mort très attirante. Mais leurs lames étaient inutilisables. Elle avait beau avoir essayer de les aiguisé, elles étaient toujours aussi rongé par la rouille.

Elle n’était plus très loin de sa destination quand elle entendit un coup de feu. Quelqu’un se mit à hurlait comme une bête puis un bruit atroce se fit entendre. Le corps sans vie d’une femme chauve traversa le mur. Elle était couverte de griffure et une partie de son abdomen avait été arraché.

« Elle aussi, il va falloir la venger ! »
- Je sais Oni !
« Fait bien attention à toi ! »
- Ok, mais dit moi qui es ce type putain !
« Si il est qui je pense, sa ne va pas être facile !… Promet moi de te repaître de sa peur !»
- Il va pisser de trouille !

La jeune fille se retourna prête à en découdre. A travers le trou dans le mur, elle pu voir une autre fille que la peur tenailler, brandissant sans aucune assurance une vulgaire barre de fer. La partie droite de son visage était totalement ravagée par des griffures et son corps porté de nombreuse marque de morsure. Elle se mit soudain à hurler et une table d’autopsie s’écrasa sur sa tête avec violence. Son corps fut parcourut de spasme et elle mourut.

C’est alors qu’un être recouvert d’une fourrure brune s’approcha du corps et se pencha pour lui dévorer le cœur.
Elektra fit alors chanter Sirène. L’être se retourna. Il s’agissait du docteur Langröwsky. Il était vêtu d’une sorte de manteau de fourrure. Son regard ressemblait à celui qu’il avait déjà eut au cimetière. Il était vide de toute humanité. Elle continua de la regarder et vit que son manteau de fourrure n’en était pas un. Il s’agissait des scalpes de ses victimes cousu un à un. Ses mains étaient recouvertes de gant sur lesquels étaient montés des l’armature en fer et qui se terminer, sur chaques doigts, en longues griffes faites avec des lames de scalpel fondues.

- Putain, t’es bien atteint toi !
- Je suis le purificateur ! Sasquatch va te libérer de ta douleur !
- Creves !

Elektra fonça sur lui en brandissant Sirène. Sa fine lame trouva sans problème sa cible et lui ouvrit le bras. Elektra n’en revint pas . Walter recula à cause de la douleur et en profita pour la griffer à l’aisne. Elle bloqua le coup avec Infini, mais la lames rentra dans son manche.

« Elektra, utilise les trous sur les manches, ils servent à bloquer les lames. Celles-ci sont libres et leurs chants sont infinis. »

Elle à peine le temps de s’exécuter, que le fou lui mit un coup de boule. Le coup fut si fort qu’elle alla s’éclater contre le mur. Elle eut à peine le temps de reprendre ses esprit, que Sasquatch lui fonçait déjà dessus en faisant tourner son ordinateur au dessus de sa tête et en rigolant. Elektra regarda plus attentivement sa deuxième dague. Son manche avait deux trous. L’un servait à retenir le chant de la lame. Mais l’autre ?
Elle le boucha est la lame fut éjectée du manche en continuant sa chanson. Simplement retenu par une mini chaîne longue d’un mètre.

La lame fila et alla se planter dans le bras de Sasquatch qui du lâcher son ordi. Elle déboucha le trou et la lame se remit en place.

« En bouchant plus où moins les trou. Les lames iront plus ou moins loin, Utilise leurs mélodies et danse ! Elektra ! Danse avec la mort ! »

Elle se releva Walter ne riait plus. Elle fit alors chantait ses deux lames. Le son d’Infini était plus grave que celui de Sirène. Ce fut à son tour de rire. Elle se mit à tourner sur elle même en bouchant plus ou moins les trou de ses armes. Les lames volaient dans tout les sens. Chaque sons qu’elle émettaient semblé les aiguisé encore un peu plus. Chaque plaie qu’elles ouvraient semblée plus mortelle. Elektra dansa plus vite et le chant s’accéléra.

Sasquatch avait l’impression d’être déchiqueté par un souffle mortelle. La musique l’emmenait peu à peu vers une mort certaine. Son pouvoir guérisseur n’arrivait plus à suivre le rythme. Car il sentait que son âme aussi se taillader. Il se sentit partir. Puis plus rien. Il ouvrit les yeux et vit Elektra qu’il le regarder avec haine.

- C’est pour se que tu as fait as mon amie !
« Non Elektra, ne le laisse pas souffler ! Tues le maintenant ! »
- Mais avant, je veux savoir ce que tu m’as dit au cimetière !

Walter fondit en larmes. Sasquatch était enfin parti. Et il rendait enfin compte de toute l’atrocité qu’il avait fait. Il se rappela de se qu’il avait fait au secouriste qui était venu le chercher après avoir tués sa famille. Il se rappelait le regard de terreur et d’incompréhension de Wanda. Il avait de nouveau peur et froid.

- Réponds ! que m’as-tu dis au cimetière !
Elektra ! On s’en fout ! Butes le!
- Je … je t’ai demandé de m’aider ! s’il te plait… ach…. IL EST TEMPS SASQUATCH !

Sa voix semblait plus rauque plus sauvage

- Non ! je… IL EST TEMPS DE ME LAISSAIS LA PLACE ! … Non ! je ne veux pas ! laisse moi ! AArrrgh!!

Walter se mit à se tordre dans tout les sens envahit par des douleur atroce, sa peau semblait recouvrir autre chose. Ses yeux s’éclaircirent jusqu'à devenir presque blanc. Puis il se mit à s’arracher la peau par lambeau en hurlant comme un dément. Ses dents se mirent à pousser ainsi que ses doigts. Sa peau continua de tomber en lambeau en découvrant une espéce de sous couche marron. Ses os craquérent tandis qu’il se mettait à grandir. La sous couche marron se révéla être alors une fourrure le faisait ressembler à une grosse peluche mais l’être qui se dréssa devant elle n’avait plu rien à voir avec Walter ni avec aucun petit nounours. Ses muscles étaient saillants et semblait forgé dans de l’acier. Sa gueule ètait rempli de crocs aiguisés préts à servir à déchiqueté tout ce qui se présenté devant eux. Les yeux bleu pale de l’être était rempli d’une cruauté sans nom.

- Toi ! tu m’as obligé à me dévoilé ! je n’étais pas prés ! je ne suis pas assez puissant !

Sa voix glaçait le sang. Mais Elektra n’avait pas peur et commença à se préparer à se reservir de ses armes.

- Sa fait logtemps que l’on ne s’était pas croisé ! tu me semble pourtant bien loin de ta terre natal ! comment vont les autres !
« Il croit que je suis toi, gagne du temps en lui disant que… »
- je ne suis pas Oni ! je suis juste son receptacle ! et je vais te…
« Qu’elle conne ! »
- Ah bon ! Oni me déçoit, il n’est pas du genre à se laisser dompter… surtout par une fillette ! surtout par quelqu’un comme toi !
« Ne rentre pas dans son jeu, il… »
- Quoi ! qu’est-ce que tu me reproche gras lard !
- Rien à part que j’espere que tu as bon gout !

D’un geste, il désarma Elektra et d’une pichenette, il l’a fit passé à travers la porte du bureau du docteur Langröwsky et alla s’écraser contre le mur prés du corps sans vie de cette pauvre Noir chauve. Elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits. Oni lui criait dessus, il lui disait de ne pas écouté ce Tanaraq, de n’écouter que lui. Il l’insulté en lui disant de se reprendre. Mais deja le dieu Inuit traversa le mur en marchant, il tenait Infini dans la main et se curait les ongles.

- Elektra ! Tu croyais vraiment battre avec ses cure dents ! j’ai fait des choses que tu n’imagines pas. J’ai torturé et massacré des génératons entières d’humains avant que l’on ne m’enferme ! ce n’est pas avec t’as danse minable que tu vas te débarasser de moi !
- Vas creuver sale con !
- Non, ce serait trop simple ! crois- tu qu’Oni peut avoir peur ! crois tu que la peur puisse seulement ressentir quelque chose !
- Je… Je crois que oui !

Tanaraq sourit en attrapant Elektra par le col. Tandis qu’Oni continuait de lui hurlé des ordres.
- je suis sur que là il te dit de te méfier ! Que je suis dangereux !
- …
- tu veux que jete dises quelque choses ma petite Elektra !tu te meprends sur lui ! il n’est pas ton amis ! pour lui tu n’est qu’une coquille de plus qu’il doit occupé le temps de reprendre des forces ! il se joue de toi… tout comme je me suis joué de Walter.
- C’est faux !
- Ha oui, quand t’est-il apparut la première fois ? je pari que cest apprés que tu ai reçu un choc morale terrible ! tu n’es pour lui qu’une poussiére de plus, il fait comme si il t’aimait bien ! mais dés qu’il en aura locasion, il te détruira et il commencera par s’occuper de ta famille !
- Non ! c’est faux

Le ton commencer à monter entre les deux adversaires, Tanaraq se montrait de plus en plus violent avec elle , il la secouait comme un sac de pomme en la menaçant de sa dague.

- TU ME TRAITES DE MENTEUR ! JE NE MENTS JAMAIS !
- JE NE TE CROIS PAS !
« ELEKTRA, NE RENTRE PAS DANS SON JEU ! »
- JEUNE FILLE ! NE ME POUSSE PAS !
- …

Elektra se mit à pleurer, pas de peur, de désespoir. Elle doutait et Tanaraq le savait. Les deux démons ne cessait de lui hurlait des conseil. Et Tanaraq s’areta net, continuant de la harceler gentilliment, se montrant même parfois amical. Elle se sentait déchirait, elle ne savait plus où elle en était. Puis d’un coup elle craqua.

- mais… Tu… REAGIS PETITE CONNE ! !
- prouves moi ce que tu dis !

A peine l’eut-elle supplier, que Tanaraq lui planta ses griffes dans le cœur. Elektra sentit alors qu’Oni lui était arracher Tanaraq parvint même à l’extirper un instant de son corp mais Oni s’accrocher. Elektra compris alors que Tanaraq voulait mettre son ami dans le cadravre de la fille prés de lui.

« Elektra ! je suis désolé ! »

D’un coup, Oni prit possession de son corp. D’un geste, il saisit la dague des mains de Tanaraq et la lui planta dans la gorges. Puis il lui cacha ce qu’il fit ensuite.

La jeunes fille se réveilla plus tard. Devant elle il y avait le corp de Langrowsky. Elle s »apperçut qu’il ne respirer plus. Puis elle regarda autour d’elle est vit le cadrave de la jeune noir. Elle observa attentivement et vit la poitrine se soulever un peu.

« C’est Tanaraq, je l’ai piégé dans ce corp avec l’ame de Langrowsky … Ils ont peu de chance de sans tirer ! »

la jeune fille ne lui répondit même pas et se contenta d’attraper ses armes qui était par terre.

« Elektra, je suis … désolé, il allait… »
- …te tuer ! tu te sers de moi depuis le début ! je ne veux plus t’entendre, je… je me sens trahit !


ce matin là, elle rentra chez elle, exténuée. Elle mit ses affaires à laver, mas ne vit pas son père qui l’observer depuis le salon.

Le lendemain en rentrant de son footing matinal, Elektra fut acceuillit par son père, le professeur Stone et deux policiers. Oni lui ordonna de se tirer, mais elle ne l’écoutait plus. Stone lui expliqua pourquoi ils étaient là. Son père s’inquiétait pour elle.

- Elektra ! la voix que tu entends dans ta tête, ça a un nom ! j’ai bien observé tes radios, les medecins qui t’ont oppérer après ton accidents ont fait une erreurs. Ils n’ont pas déceler à éclat de balles qui s’est logé dans ton cerveau . hélas pour toi, elle continue d’avancer petit à petit dans ta tête et un jour elle te tueras. Helas pour toi, c’est inopérable et elle te provoque aussi des allucinations !
- Vous voulez dire que je suis folle !
- En quelque sorte…
- Non, c’est pas possible, Matt aussi à été possédé ! c’est Dardevil ! comment il aurait fait sinon !
- Matt ? Dardevil ? enfin chérie ! Matt est aveugle.

Elektra se mit alors à rire nerveusement.

- Matt aveugle ? il voit presque mieux que nous, mais sauf qu’il voit pas !

Le docteur Stone s’adressa alors à son père tandis que les deux policiers s’approché calmement de lui.

- Vous voyez, je l’avez dit ! des allucinations !
- Non je suis pas folle !

Elle saisit son portable et composa le premiers numéros qui lui vint à l’esprit.

- Matt ! aides-moi !
Fin… peut être !
 
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